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« C’est comme un distillat d’eau de vie, d’une transparence absolue…Elle s’appelle Myriam Leblanc et d’après moi c’est dans les 10 dernières années une des plus belles voix, peut-être la plus belle qui est sortie du vivier québécois… »
(Christophe Huss, Samedi et rien d’autre, Décembre 2020)
« Comme dans la plupart des œuvres de Vivaldi, celles qu’on retrouve dans cet album font la part belle à la virtuosité, surtout pour la voix. Et c’eut été dommage que ce ne soit pas le cas, car Mme Leblanc démontre ici une grande maîtrise de son art. Elle apparaît aussi à l’aise dans les aigus colorés que dans les quelques notes graves. Et cette sensation de maîtrise se retrouve tout autant chez ses collègues musiciens qui nous offrent une ambiance sonore tellement baroque, c’est à ravir. Tout est réuni dans cet album pour nous donner envie de le faire tourner en boucle, y compris une réalisation à la hauteur de la réputation de la maison. »
(Martin Prévost, La Pieuvre, Octobre 2020)
« La voix est la star : elle est pure, cristalline et captivante pour ces qualités. La publication est donc cruciale pour cela : elle attire toute notre attention sur Myriam Leblanc comme une artiste éminente de la jeune génération de chanteurs révélée ces dernières années. »
(The Canadian, Janvier 2021)
« Elle a un timbre magnifique très égal dans tous les registres, une voix agile totalement juste….C’est un disque d’une grande beauté, chaque détail est soigné avec amour, arrangé par Grégoire Jeay qui est aussi un flûtiste virtuose…Un disque très intense si vous l’écoutez dans le détail mais qui n’est en rien agressant si vous le laissez flotter en arrière-plan. »
(Catherine Perrin, Culture Club, Décembre 2020)
« C’est pourtant à son honneur que la jeune soprano canadienne Myriam Leblanc, diplômée de l’Université McGill et artiste en résidence de l’Atelier Lyrique de l’Opéra de Montréal, fait cela dans ces petits joyaux du catalogue Vivaldi. Les auditeurs qui s’attendent à un autre « oiseau de passage » seront, je pense, assez surpris par son chant. À l’instar de la grande et révolutionnaire soprano britannique Emma Kirkby, Leblanc a tous les atouts – une voix haute et pure avec un registre aigu illimité, une musicalité et un style exceptionnels – mais aussi le désir de faire en sorte que les paroles comptent. […].C’est un chant qui est presque à égalité avec les interprétations de la musique du XVIIIe siècle par la légendaire soprano Bethany Beardslee. »
(Lynn René Bayley, The Art Music Lounge, Octobre 2020)